Incidents à l'hôpital Pitié Salpétrière (AP-HP)
Actualisé le Jeudi 2 mai 2019
Vidéo des "décodeurs" du journal "Le Monde" :
Video complémentaire de l'émission "Quotidien" sur TMC :
Actualisé le Jeudi 2 mai 2019
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Depuis Janvier 2019, plusieurs organes de presse, comme Le Canard enchaîné, Libération et Médiapart, font état de l'utilisation, notamment à Paris, du système d’identification unique des victimes "SI-VIC" dans le cadre du mouvement social des gilets jaunes.
Ce système avait initialement pour finalité l’établissement d’une liste unique des victimes d’attentats pour l’information de leurs proches et de la cellule interministérielle d’aide aux victimes (CIAV) ; son périmètre d’application a été étendu en 2017 aux situations sanitaires exceptionnelles (SSE) au titre desquelles figurent les attentats (1).
Suite aux premiers articles de presse, la Direction Générale de la Santé (DGS), au ministère des Solidarités et de la Santé, avait justifié l’activation de la procédure "SI-VIC" « en prudentiel » à partir de mois de décembre 2018 pour les manifestations de gilets jaunes « afin de quantifier l’impact du nombre de blessés sur l’offre de soins et anticiper la mise en place, le cas échéant, des mesures de régulation des flux de blessés ou de renforcement capacitaire des établissements de santé ». Elle assurait aussi que « le décret du 9 mars 2018 autorise uniquement l’accès à la base "SI-VIC" pour les agents du ministère de l’intérieur en cas d’attentat».
De son coté, Martin Hirsch, le directeur général de l’Assistance publique - Hôpitaux de Paris (APHP), précisait à Libération le 14 avril 2019 (2) : « on a une procédure "SI-VIC" qui est appliquée systématiquement pour les grands événements (...) on peut faire remonter le nombre de blessés dans le cadre des manifestations, mais on ne transfère rien de nominatif ». Mais il était contredit le 20 avril 2019 (suite à un article du Canard Enchainé) par un communiqué de l'AP-HP reconnaissant le recueil de données nominatives, mais niant le recueil de données médicales. Ce communiqué se trouve depuis ce mercredi 24 avril 2019 lui aussi contredit par un nouveau communiqué de la même AP-HP (suite à un nouvel article du Canard Enchainé) reconnaissant une pratique « inappropriée » mais « marginale » de médecins mentionnant des « éléments de nature médicale » tout en admettant que le mémo de sa direction précisait « que la case "commentaire" pouvait servir à "ajouter toutes les informations utiles concernant la pathologie ou le type de blessure" ». En 10 jours, la direction de l'AP-HP a donc tenu 3 discours contradictoires sous la pression de révélations médiatiques...
Le SNJMG est doublement concerné par cette affaire. D’une part, en tant que syndicat représentatif des internes de Médecine Générale sur Paris, il relaie les interrogations légitimes de ses mandants qui constituent bien souvent le premier interlocuteur médical des patients dans les services d’urgences de l'AP-HP. D’autre part, en tant que syndicat défenseur de l’indépendance médicale, il se prévaut d’une vision éthique des soins, incompatible notamment avec une remise en cause du secret professionnel.
Aussi, après avoir salué l’intervention dès le 19 avril 2019 du conseil de l’ordre des médecins (3), le SNJMG interpelle les pouvoirs publics sur les questions suivantes :
- quelle autorité publique a déclenché le recours au système "SI-VIC" pour des manifestations de gilets jaunes et à dans quelles conditions (lieu, date et motif) ?
- pourquoi des hôpitaux n’ont ils pas respecté les recommandations de la CNIL d’information des patients et de leur proches avant de les inclure dans la procédure "SI-VIC" ?
- quelles suites seront données à la mauvaise gestion de la procédure "SI-VIC" dans les hôpitaux de l'AP-HP et éventuellement ailleurs ?
- que sont devenues et que vont devenir les données collectées depuis décembre 2018 ? Sont elles restées dans le champs du soin et y resteront elles ?
(1) : Délibération CNIL n° 2017-321 du 7 décembre 2017
(2) : Les gilets jaunes blessés lors des manifestations sont-ils fichés par les services hospitaliers ?
(3) : Utilisation de Si-VIC dans le contexte du mouvement socail dit des gilets jaunes : l'Ordre a saisi la DGS et la CNIL
Ce jour, les médecins généralistes peuvent découvrir sur leur compte amelipro le montant de la ROSP adultes 2018 que l'Assurance Maladie va leur régler d'ici la fin de ce mois d'Avril 2019.
Au vu des premiers retours qui nous sont parvenus, les sommes annoncées sont significativement inférieures à celles qui avaient été versées l'année dernière. Pourtant, et à la différence de l'année dernière, il n'y a eu aucun avertissement préalable de la part de l'Assurance Maladie.
Avis aux Médecins généralistes (et particulièrement, celles et ceux installés depuis moins de 10 ans) !
Si le montant de votre ROSP est sensiblement éloigné de vos attentes ou pire de vos calculs, n'hésitez pas à nous le signaler auprès de notre secrétariat.
NB : Du fait du wek end pascal et d'eventuels correctifs apportés par l'Assurance Maladie avant le réglement de la ROSP, nous allons d'abord prendre le temps de collecter les différents problèmes signalés avant d'y travailler dessus...
Fin Janvier 2018, le Pr Jean Sibilia, doyen de la faculté de médecine de Strasbourg, a été élu par ses pairs comme président de la Conférence des doyens.
En un peu plus d'un an, le bilan de cette présidence est hélas éloquent.
Dès son premier entretien, suite à son élection, il avait relativisé les souffrances des internes de médecine ("les suicides réels sont très très rares") en écartant toute influence de "l'organisation structurelle du système" (1).
Malgré les multiples réactions de désapprobation, le Pr Sibilia n'était pas revenu pas sur ses propos.
En septembre 2018, il s'en prenait une nouvelle fois aux jeunes médecins : "Si tous les jeunes médecins en formation avaient ces valeurs citoyennes, républicaines et puissent rendre à la Nation ce que la Nation leur a donné, peut être que l'on discuterait différemment de la répartition des médecins et de la coercition et non coercition (...) S'il y avait plus de sens, plus de qualité civique et plus de valeurs sociétale et républicaine, je pense qu'on avancerait un tout petit peu" (2).
Cette intervention a été fermement condamné par le conseil de l'ordre des médecins (3) mais le Pr Sibilia a refusé de reconnaître qu'il avait tenus ces propos et n'a donné aucune suite aux demandes d'excuses publiques formulées par le Syndicat National des Jeunes Médecins Généralistes (SNJMG), au nom de tous les jeunes médecins ainsi insultés (4).
Devant l'absence de réaction des ministres de tutelle (Santé et Enseignement Supérieur), le Pr Sibilia s'est peut être cru autorisé à une nouvelle provocation en regrettant en décembre 2018 la féminisation des promotions d'étudiants en médecine (5).
Malgré (ou à cause de) la répétition des provocations, le SNJMG a été bien seul à condamner cette prise de position (6).
Mais voici que le Pr Sibilia vient une nouvelle fois de récidiver en affirmant que "le monde de la santé ne peut pas se permettre ce sentiment (...) de complotisme où toute relation est suspecte", évoquant, entre autres, les échanges avec les laboratoires pharmaceutiques (7).
Si le Pr Sibilia, dont le cas personnel a été évoqué sur les réseaux sociaux (8), a pu s’appuyer sur le sentiment de certains de ces confrères (9), le SNJMG estime au contraire que le monde de la santé ne peut pas se permettre davantage de collusion avec les acteurs industriels et que seule la transparence, et mieux l'indépendance, des professionnels de santé est à même de dissiper toute suspicion (10).
Au nom des jeunes médecins et de tous les militants pour l'indépendance médicale, le SNJMG renouvelle son appel aux ministres de tutelles : jusqu'à quand continuerez vous d'accepter, par votre silence, les propos délétères du responsable universitaire de la formation des médecins de France ?
(1) : Communiqué du SNJMG (06.02.18)
(2) : Source : Vincent Granier (APM)
(3) : Communiqué de l'Ordre des médecins (06.09.18)
(4) : Communiqué du SNJMG (07.09.18)
(5) : Dans un entretien au Figaro Etudiant, Jean Sibilia a souhaité "pousser plus de garçons à faire médecine, qui s’est beaucoup féminisée ces dernières années".
(6) : Communiqué du SNJMG (07.03.19)
(7) : Entretien Café Nile du 10 avril 2019
(8) : Fil twitter (05.09.18)
(9) : Déclarations du Pr Pascal Roblot, doyen de la faculté de médecine de Poitiers, envers le classement des facs et CHU établi par le Formindep (Avril 2019)
(10) : Indépendance de la formation médicale : une implication constante du SNJMG
Documentation :
Communiqué de presse de la commission Jeunes Médecins du CNOM (CNOM_CP-INSTALLATION-JEUNES-MEDECINS_110419.pdf) Enquête sur les déterminants à l’installation : des freins à lever pour accompagner les internes et jeunes médecins à exercer dans les territoires
Dossier de presse de la commission Jeunes Médecins du CNOM (Dossier-de-presse-installation-CNOM-CJM-1.pdf) Enquête sur les déterminants de l’installation chez les internes, les remplaçants exclusifs et les installés
Live tweet et discussions twitter :
#DirectCNOM | Lancée en janvier 2019, cette étude met en lumière les besoins, attentes et craintes des jeunes et futurs médecins. Plus de 15.300 professionnels y ont répondu (70% de médecins déjà installés, 16% d’internes et 14% de médecins remplaçants). pic.twitter.com/ccKjVgevRz
— Ordre des Médecins (@ordre_medecins) 11 avril 2019
#DirectCNOM | L’étude révèle une véritable aspiration à l’installation en libéral. 75% des internes envisagent ce mode d’exercice, vs. 19% en activité salariée pure. Dans les faits, seuls 12% des nouveaux inscrits à l’Ordre en 2018 exercent en libéral, quand 62% sont salariés. pic.twitter.com/sviLARKbYP
— Ordre des Médecins (@ordre_medecins) 11 avril 2019
#DirectCNOM | Le territoire, déterminant majeur à l’installation. 62% des internes & 57% des médecins remplaçants considèrent que la qualité des services publics est un facteur essentiel dans leur décision de s’installer quelque part. La proximité familiale est aussi essentielle. pic.twitter.com/3IZNBEEfwM
— Ordre des Médecins (@ordre_medecins) 11 avril 2019
#DirectCNOM | La recherche d’un cadre de vie non-isolé est d’autant + prégnante que les jeunes médecins, lorsqu’ils sont en âge de s’installer (30 ans), ont souvent une vie de famille. 86% des internes ayant un conjoint affirment que ce dernier influence le projet d’installation. pic.twitter.com/DnatsAbHXq
— Ordre des Médecins (@ordre_medecins) 11 avril 2019
#DirectCNOM | Exercice groupé, réseau de professionnels… Les jeunes médecins ont une attente particulière sur les conditions d’exercice. Par ailleurs, la recherche d’un équilibre vie privée - vie professionnelle est saillante chez les internes et remplaçants. pic.twitter.com/uOOrbstiyU
— Ordre des Médecins (@ordre_medecins) 11 avril 2019
#DirectCNOM | Enseignement majeur : 59% des internes et 43% des remplaçants affirment craindre l’échec économique d’une installation. Face à cette appréhension du risque économique, les aides financières à l’installation sont perçues comme importantes mais pas déterminantes. pic.twitter.com/oLQ0GEunaR
— Ordre des Médecins (@ordre_medecins) 11 avril 2019
Sayaka Oguchi pour le @SNJMG aux cotés de @A_Reydellet @Clara_ANEMF et @PieterPrats au point presse de @ordre_medecins : https://t.co/72OFpTDuon
— Syndicat Jeunes MG (@SNJMG) 11 avril 2019
#DirectCNOM | Des pistes claires pour faciliter l’installation des jeunes médecins, sans céder à l’appel des mesures coercitives qui seraient totalement contre-productives : accompagner, faciliter le travail en groupe et en réseau, améliorer les conditions d’exercice. pic.twitter.com/i9u0mqGl0H
— Ordre des Médecins (@ordre_medecins) 11 avril 2019
#DirectCNOM | Une formation précoce au management de "l’entreprise médicale", et l’idée d’un incubateur de projets d’installations mettant à leur disposition toutes les compétences nécessaires, seraient également bénéfiques.
— Ordre des Médecins (@ordre_medecins) 11 avril 2019
#EnqueteInstallation | @Thomas_ANEMF « Pour les jeunes et futurs médecins, la proximité familiale et les services publics sont les deux premiers déterminants à l’installation dans les territoires »@ANEMF @ISNARIMG @ISNItwit @ReAGJIR @SNJMG pic.twitter.com/u6tYc521zB
— Clara Bonnavion (@Clara_ANEMF) 11 avril 2019
Selon une étude publiée jeudi par l' @ordre_medecins, une majorité d'internes souhaiteraient s'installer en libéral, mais très peu le font réellement, craignant l'échec économique malgré diverses aides financières à l'installation existantes https://t.co/MzNEJp2iin via @europe1
— Jean-Jacques Fraslin (Le retour) - No #FakeMed (@Fraslin) 11 avril 2019
Le sondage n'est pas terrible. Pour commencer, à propos du "risque économique", je n'aurais pas compris la question pic.twitter.com/aVQ8qkepNf
— Dominique Dupagne (@DDupagne) 11 avril 2019
Ensuite, pour le soutien financier, l'item "partiellement" est idiot car il fausse toute l'analyse. En fait, avec "tout à fait", "plutôt" et "partiellement" on est à 74% (c'est valable pour d'autres questions). Qui peut affirmer que ça ne joue pas au moins partiellement ? 10% !
— Dominique Dupagne (@DDupagne) 11 avril 2019
Franchement, d'où ça sort cette peur de "l'échec économique" ?
— M5 (@module5) 11 avril 2019
Tu mets ta plaque n'importe où t'as un planning plein le mois suivant.
Est-ce que ça ne vient pas de ceux qui rabâchent qu'on gagne pas notre vie ?
(Je ne comprends sincèrement pas)
Ouais ça sort un peu de l'espace. Est ce qu'il y a pas une confusion avec la gestion de l'administratif???
— Remplachiant/spécialiste en generalités (@Microsebus) 11 avril 2019
Ca dépend.
— armance64 (@armance64) 11 avril 2019
Un jeune qui s'associe en groupe, mettons à 4, va partager les charges en 4. Mais si d'aventure un associé part à la retraite ou déplaque sans remplacement, c'est dur, si 2 partent, c'est plus tenable financièrement.
Et la majorité qui partent ne sont pas remplacés...
Tout s'anticipe... ou presque.
— armance64 (@armance64) 11 avril 2019
Ici on est passé de 2 à 3, au bout de qques mois, on a eu besoin d'augmenter les heures de la secrétaire, les charges globales...
Puis la 3ième a jeté l'éponge, et on s'est retrouvés à 2 avec des charges pour 3... ça a été compliqué...
HA HA HA! #PenséeMagique
— armance64 (@armance64) 11 avril 2019
Bien sûr que non.
On a construit à nos frais, on se débrouille.
Le maire, il veut des docteurs, mais s'il peut ne pas mettre de billes, il préfère.
Entrez en contact avec le Maire et mettez leur la pression en faisant état de vos difficicultés et que si rien n'est fait malheureusement il y a une chance que le cabinet aille ailleurs (citez une ville du coin ou votre Mairie n'est pas en bon terme). Ils débloqueront des fonds.
— Bastien (@Bastien_BB) 11 avril 2019
En tant que libéral j'apprécie la liberté très relative des horaires
— B Stalnikiewicz (@docteurniide) 12 avril 2019
je déteste tout le reste
Dans le libéral, j'aime pouvoir choisir mes méthodes de travail (atypiques...), mes prescriptions, mes horaires, mes vacances, mes patients, et même mes honoraires (ça c'est fini). Je détesterais être médecin salarié.
— Dominique Dupagne (@DDupagne) 12 avril 2019
J'ai travaillé longtemps libéral et salarié. Quand j'ai dû choisir, j'ai choisi le libéral.
— Grange (@docdu16) 12 avril 2019
Pourquoi ?
— Jehan_Menthion (@Jehan_Menthion) 12 avril 2019
Perso je travaille en salarié + libéral en veillant à ne pas dépasser le micro BNC (dont le plafond a été doublé récemment)...
Autant de médecins que de façons de concevoir son exercice : C'est cette liberté qu'il faut préserver !
— Syndicat Jeunes MG (@SNJMG) 12 avril 2019
Installation en libéral : cadre de vie, conditions d’exercice et travail en équipe… Ce que veulent les jeunes médecins https://t.co/hPnUgONIcZ #DocTocToc pic.twitter.com/KowiMEcMX4
— Ordre des Médecins (@ordre_medecins) 20 mai 2019
[CDP] D’une biologie médicale vers une biologie commerciale ?
— FNSIP-BM (@fnsip) 8 avril 2019
La @fnsip -bm avec le soutien des médecins généralistes de l’@ISNARIMG et le @SNJMG réagit face au rapport de l’autorité de la concurrence du 4 avril 2019 #avenirdelabiologiemedicale #priseenchargedespatients pic.twitter.com/3tkR48hWcF
APERO DINATOIRE DU SNJMG
Bonjour,
Le SNJMG vous convie à son AFTERWORK pour lier connaissance et échanger entre Jeunes Médecins Généralistes
Le VENDREDI 12 AVRIL 2019
Retrouvons nous au bar à partir de 20 H :
La Bonne Bière
32 Rue du Faubourg du Temple
75011 Paris,
01.43.57.84.96
Pour y participer, merci de contacter notre secrétariat :
info@snjmg.org
07.71.05.13.81
C'est quoi un casse-tête ?C'est un temps de réflexion collectif destiné à co-construire la parole que nous allons porter auprès de nos différents interlocuteurs. Ces échanges sont ouverts : ils s'adressent bien sûr à tous les adhérents du SNJMG mais aussi à ses sympathisants ainsi qu'à d'autres structures pour permettre un dialogue inter-syndical et inter-associatif. Les sujets sont choisis selon l'actualité et les interrogations du syndicat.Pourquoi ce thème ? Le regroupement "Jeunes médecins" a publié l'année dernière un livre blanc inventoriant leurs propositions quant aux réformes à apporter au système de santé. Les membres et sympathisants du SNJMG n'ont pas eu l'occasion de discuter collectivement de ces propositions et d'évaluer dans quelle mesures elles font écho, ou pas, aux réflexions du syndicat.Pour participer : rendez-vous sur la Chatroom du SNJMG le 18/03/19 à 19h à cette adresse.Comment ça marche ?Les casses-têtes peuvent se faire à distance via la Chatroom du SNJMG ou parfois en présentiel dans différentes villes. Pour la chatroom, il suffit de cliquer sur le lien transmis avec l'invitation à l'heure du RDV. (limité à 12 places pour le moment). Ces temps d'échange sont réguliers, donc rater une séance n'est pas une catastrophe.A très bientôt,Benoit BLAES, Vice Président, pour le SNJMG.