Fort de sa tradition de laboratoire d'idées, le SNJMG, syndicat indépendant (notamment de l'industrie pharmaceutique), s'engage à faire connaître à l'ensemble des citoyens les attentes des jeunes médecins généralistes pour leur exercice et pour notre système de santé.
le SNJMG renouvelle aujourd'hui sa revendication d'un service public d'enseignement universitaire de qualité, qui rendrait le recours aux organismes privés inutiles (qu'ils soient liés ou non à l'industrie pharmaceutique).
Le SNJMG continue de s'opposer à toutes mesures coercitives à l’installation comme celles avancées cette semaine par la FHF, et persiste dans son rôle de force de propositions pour faire évoluer le système de santé au service des patients et des soignants.
Son directeur général, Dominique Maraninchi, a refusé de publier jeudi des recommandations du groupe de travail sur les anti-infectieux concernant les infections respiratoires hautes, en raison de liens d'intérêt de plusieurs experts avec des laboratoires pharmaceutiques. En signe de protestation, bon nombre de ces derniers ont présenté leur démission.
Le SNJMG appelle les élus et les dirigeants politiques à plus de responsabilité en matière démographie médicale et d’accès aux soins. Loin des annonces démagogiques, le SNJMG renouvelle sa demande d’un vrai débat national sur l’organisation et le financement de notre système de santé.
L’ANEMF, l’ISNAR-IMG, l’ISNCCA, l’ISNIH, ReAGJIR et le SNJMG, dans une lettre ouverte adressée à l’ensemble des parlementaires, tiennent à rappeler leur volonté de promouvoir l’exercice ambulatoire et restent une force de proposition dans la réflexion menée pour répondre aux attentes de la population et de la future profession.
Lors de la discussion à l'Assemblée Nationale, les députés ont amélioré le projet de loi par de nombreux amendements mais le résultat n'est toujours pas à la hauteur des enjeux de santé publique.